TRIBUNE. Le nouveau gouvernement Barnier ne trouvera sa légitimité, et donc sa force, qu’une fois sa responsabilité engagée devant l’Assemblée nationale, prévient le professeur de droit public dans une tribune au « Monde ».
Dommage que la seule proposition de VIème Rép émerge d’un camp dont la gestion interne rappelle cruellement les défauts de l’actuelle Vème (centralisme des décisions, culte du chef, garde rapprochée, ligne politique marquée).
Ça peut tellement être le rôle d’un parti que certaines idéologies font du Parti une instance décisionnaire d’un État. Par exemple la Chine avec le PCC, l’Argentine pré-Milei avec le péronisme) etc.
Un parti porte une proposition politique mais pas que, sa manière même d’exister et son fonctionnement révèle aussi en germes son horizon et sa manière d’appréhender le pouvoir. Ce n’est pas pour rien qu’on a parlé de césarisme à propos de Macron par exemple.
Dommage que la seule proposition de VIème Rép émerge d’un camp dont la gestion interne rappelle cruellement les défauts de l’actuelle Vème (centralisme des décisions, culte du chef, garde rapprochée, ligne politique marquée).
Pourquoi faudrait il qu’un parti soit géré comme un État démocratique ? C’est pas le rôle d’un parti
Ça peut tellement être le rôle d’un parti que certaines idéologies font du Parti une instance décisionnaire d’un État. Par exemple la Chine avec le PCC, l’Argentine pré-Milei avec le péronisme) etc.
Un parti porte une proposition politique mais pas que, sa manière même d’exister et son fonctionnement révèle aussi en germes son horizon et sa manière d’appréhender le pouvoir. Ce n’est pas pour rien qu’on a parlé de césarisme à propos de Macron par exemple.
Bah ok, mais on veut un État démocratique, osef des partis, ils ont pas à l’être, on veut pas de parti unique
Pourtant c’est bien un parti unique qui gouverne quand on a un fait majoritaire en Vème République.